mercredi 11 décembre 2019

Souscription pour l'édition 2020 de Forces armées africaines


Pour souscrire c'est ici : souscription
Fin de la souscription ce soir 11 décembre à minuit

LE LIVRE - De l'édition 2016 à l'édition 2020  

Forces armes africaines 2020 est une version remaniée et actualisée (environ 800 pages) de l'ouvrage Forces armées africaines 2016-2017 paru en mai 2017 (602 pages) en auto-édition via CreateSpace (aujourd'hui Kindle Direct Publishing - KDP).

L'édition 2016-2017 a remporté un petit succès et en octobre 2019, soit presque deux ans et demi plus tard, elle se classe toujours honorablement 1475e des ventes (à la date du 17 octobre 2019) dans la rubrique « géopolitique » d'Amazon, sur plus de 10 000 titres !

Le livre constitue un outil polyvalent de recherche, de prospective ainsi que de réflexion stratégique, opérative et tactique, en étant :
· Un annuaire des armées africaines dans lequel sont exposés leurs ordres de bataille (organisation), leurs moyens terrestres, aériens et navals (sous forme de listes). L'édition 2020 inclut également la présentation des paramilitaires (dont la sécurité est la mission première mais également aptes à des actions de combat, par exemple les unités spécialisées de contre-terrorisme des forces de police).
· Une analyse stratégique du contexte dans lequel évolue ou involue chaque armée africaine : problèmes politiques, relations avec les Etats voisins, bilan de la coopération militaire, etc.
· Une analyse sur les capacités opérationnelles de chaque armée africaine.

L'édition 2020 est donc en cours de rédaction et sa parution est prévue entre février et mai 2020.

Docteur en géographie, Patrick FERRAS participe à cette nouvelle version. Auteur d'une remarquable thèse sur les forces éthiopiennes, il est enseignant et président de l'association Stratégies africaines dont les travaux sont "(...) centrés sur la géopolitique de la Corne de l'Afrique et les questions de paix et de sécurité en Afrique."

  LES OBJECTIFS DU LIVRE - En 2016 comme en 2020  

Présenter en détail l'ensemble des forces armées africaines contemporaines dans leurs caractéristiques opérationnelles (c'est à dire leur action sur le terrain, leurs qualités au combat, leurs défauts) et dans leur diversité (sociale, économique, culturelle...) ;


 Proposer un ouvrage riche pour un coût raisonnable au regard de ce qui prévaut dans le domaine. Ainsi, le contenu est-il financièrement accessible aux chercheurs, aux journalistes, aux étudiants et aux militaires, notamment africains. Le prix de l'édition 2020 sera légèrement plus élevé en raison de l'augmentation de la pagination et se situera autour de 38 euros (33,70 euros pour l'édition 2016-2017).

L'édition 2016-2017 avec en illustration le lieutenant Ayella Gissa en décembre 2006, photo Chief Mass Communication Specialist Eric A. Clement U.S. Navy.

  LES NOUVEAUTÉS - Quoi de nouveau dans l'édition 2020 ?  

Actualisation (l'actualisation de l'ensemble des fiches-chapitres se poursuivra jusqu'à la fin de l'année 2019/début de l'année 2020, et bien entendu, correction des coquilles !) ;

Présentation d'ensemble de l'Afrique de la défense en 2020 par Patrick FERRAS ;


Réorganisation de l'ensemble des fiches-chapitres : la partie inventaire des moyens matériels est toujours là tout comme la partie analyse. Mais cette dernière se structure désormais en une rubrique "domaine stratégique" et une rubrique "domaine opérationnel" ;


En guise d'introduction dans la partie analyse, une brève présentation de ce qu'était chaque armée évoquée 20 ans auparavant (budgets, effectifs, composition des forces) ;

Davantage d'informations sur les forces paramilitaires, aussi bien dans l'inventaire des moyens que dans l'analyse ;

Des encadrés sur les entités insurrectionnelles, par exemple la liste des principaux groupes armés en RDC, avec dans tous les cas un bref aperçu de leurs effectifs, moyens et capacités.

  POURQUOI CE LIVRE - Les armées africaines aujourd'hui  

Les armées africaines sont le plus souvent considérées au travers des caricatures qui les décrivent. L'actualité nourrit l'impression qu'elles sont mauvaises et incapables d'accomplir leurs missions, qu'elles sont tout juste bonnes à subir des défaites et commettre des exactions à l'encontre des populations. La corruption, le manque de moyens n'arrangent rien. Des stratégies inadaptées dans des contextes de gouvernances bancales, la pauvreté des budgets de défense figent ce constat.

Cependant, il importe de nuancer cette image négative.

En dépit de difficultés structurelles et contextuelles considérables, beaucoup d'armées africaines tendent à évoluer. Quand bien même certaines correspondent effectivement aux clichés, elles comprennent aussi des hommes et des femmes déterminés à changer les choses en faveur de la paix et de la justice. L'idée d'armées au service d'un Etat plutôt que d'un pouvoir progresse désormais en Afrique. Quant aux revers sur le terrain, parfois avec de lourds bilans, ils sont plus souvent rapportés que les succès. Beaucoup d'armées africaines ont également des qualités ou s'efforcent d'en développer. Que le cheminement soit laborieux et qu'il demande un temps long ne signifie pas qu'il n'y a pas de cheminement. Toutes les armées évoluent et nos armées, considérées comme modernes ont connues des phases difficiles au cours de leur histoire. Il leur a fallu s'adapter (comme l'explique Michel GOYA dans son nouveau livre S'adapter pour vaincre) à l'ennemi et aux difficultés, sur le temps long. Les armées africaines ne sont pas différentes.

Forces armées africaines 2020 distingue ces aspects et brosse un portrait en contrastes des outils militaires du continent. Il y a du mauvais qu'il ne faut pas cacher mais il existe également du bon dont il faut parler. Par exemple, le passage ci-dessous est extrait de l'édition 2016-2017. Présent dans la partie consacrée aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), il évoque les superstitions et la magie dans les armées africaines.

LA COUVERTURE - A vous de choisir !  

A partir de 25 euros de soutien de soutien, vous pourrez me communiquer votre préférence pour la photographie de couverture de l'édition 2020 : la première avec les soldats nigériens au cours d'un exercice de patrouille ou bien la seconde avec des membres des forces spéciales maliennes. Cette préférence servira de vote et la photographie la plus plébiscitée illustrera donc la couverture de Forces armées africaines 2020.

Première photo/choix 1 pour l'illustration de couverture de l'édition 2020 : des militaires nigériens au cours de l'exercice Flintlock 2018. Le terrain que l'on devine est très représentatif de celui qui prévaut dans la zone du Liptako Gurma (photo du Staff Sgt. Jeremiah Runser, U.S. Army).

  POURQUOI LE FINANCEMENT PARTICIPATIF - Le "nerf de la guerre" !  

Le travail pour la nouvelle version a commencé dès la publication de la version 2016-2017. C'est une tâche considérable, qui s'avère également coûteuse financièrement, sans aucune aide privée ou publique.

Dans la durée, la documentation est onéreuse, surtout avec des ouvrages qui peuvent dépasser les 1 200 euros (Jane's...).

La veille informationnelle, la collecte de données ainsi que la rédaction sont chronophages et le temps consacré à ces actions ne fait pas rentrer d'argent immédiatement. Plus prosaïquement, il est difficile d'avancer l'ouvrage et dans le même temps de payer les factures !

4 000 euros représentent un minimum pour faciliter le projet. Voici les différents paliers et la répartition de la somme réunie en fonction des paliers atteints :

* Premier palier : 4 000 euros réunis - terminer le livre avec une répartition suivante des fonds :
·     1 000 euros de documentation (c'est un gros poste de dépense) ;
·    600 euros de budget publicitaire (ce qui a beaucoup manqué pour la première édition, avec des exemplaires de l'ouvrage à envoyer à des organismes, des rédactions, etc.) ;
·  1 200 euros pour la relecture (rémunération d'un correcteur, 1 000 euros étant un minimum avec 800 pages...) ;
·   1 200 euros de frais divers (8 % de commission pour Ulule soit 320 euros ; 22 % pour l'Urssaf soit 880 euros).

** Deuxième palier : 6 000 euros réunis - terminer sereinement le livre
·     1 200 euros de documentation ;
·     600 euros de budget publicitaire ;
·     1 400 euros pour un correcteur ;
·    1 000 euros de rémunération pour l'auteur (et un bon repas pour Patrick Ferras ! Ce qui représente environ... 166 euros par mois sur 6 mois !) ;
·    1 800 euros de frais divers (480 de commission Ulule ; 1 320 pour l'Urssaf).

*** Troisième palier : 8 000 euros réunis - terminer confortablement le livre
·     1 600 euros de documentation ;
·     800 euros de budget publicitaire ;
·     1 400 euros pour un correcteur ;
·     1 800 euros de rémunération pour l'auteur (et un bon repas pour Patrick Ferras ! Ce qui représente 300 euros par mois) ;
·     2 400 euros de frais divers (640 de commission Ulule ; 1 760 pour l'Urssaf).
Merci à tous pour votre soutien, merci à Ulule en général pour avoir accepté de présenter le projet et à Élodie GONÇALVES en particulier pour l'accompagnement !

  Projet futur - Ebook publié fin 2021/début 2022 offert aux soutiens d'honneur  

Les projets sont nombreux, je ne les détaille donc pas tous. Juste un seul, dont le fruit sera offert aux soutiens d'honneur lors de sa parution.

Il n'existe pour l'instant qu'à l'état d'ébauche et le travail à effectuer pour le mener à terme est important. Il sera donc offert au moment de sa date de publication estimée : entre la fin 2021 et le début 2022, c'est à dire dans environ deux ans. C'est long, mais la tâche n'est pas négligeable.

Je publierai alors, uniquement au format numérique (Kindle, mais les soutiens d'honneur pourront également le recevoir en pdf s'ils le souhaitent), un ouvrage électronique intitulé La Guerre froide africaine - Aperçu des forces armées africaines de leur indépendance à la fin des années 1980.

L'ouvrage regorgera d'ordres de bataille, d'inventaires quant aux arsenaux (de l'armement léger à l'armement lourd). L'analyse sera moins prépondérante que dans Forces armées africaines, par exemple en présentant seulement de façon succincte le contexte géopolitique pour se focaliser sur les armées africaines de cette période troublée, leurs moyens, leur organisation, leurs défauts et leurs qualités.

  QUI SUIS-JE ?  

Je travaille depuis longtemps sur les questions de défense avec une passion première pour l'Histoire militaire et une autre passion... pour l'Afrique !
J'ai participé à la rédaction de livres, dont l'original Viet Cong and NVA tunnels and fortifications of the Vietnam War chez Osprey Publishing, à deux articles pour Batailles & Blindés (éditions Caraktère, fabuleuse expérience mais trop courte pour des circonstances "hors champ", avec un rédac' chef en or, Yann MAHE pour ne pas le citer !) ; à des travaux divers comme récemment un Focus stratégique pour l'Institut français des relations internationales (IFRI) sur les frontières africaines et un regard quant à leur sécurisation. Et puis, j'ai participé à des consultances au profit du ministère des Armées.

Tout aussi récemment, j'ai eu la chance de collaborer avec Michel GOYA à un ouvrage au format Kindle consacré aux changements de mentalités et d'approches opérationnelles dans les armées africaines face aux groupes armés (Une révolution militaire africaine).

Actuellement je collabore au magazine Défense & sécurité internationale (chez Areion), avec un non moins fantastique rédac' chef (Joseph HENROTIN) pour des articles sur les armées africaines (surprenant, non ? Voir par exemple celui au sujet des qualités des forces armées africaines). Et bien entendu, je suis l'auteur de Forces armées africaines 2016-2017 et du futur Forces armées africaines 2020 !

Deuxième photo/choix 2 pour l'illustration de couverture de l'édition 2020 : soldats maliens du Bataillon Autonome des Forces Spéciales au cours d'un entraînement au Burkina Faso ; même des armées africaine avec une mauvaise "image" progressent difficilement mais sûrement, avec de vraies capacités tactiques qui s'améliorent et de belles qualités humaines parmi les personnels. Beaucoup reste à faire, mais des bases sont là (photo USAFRICOM).

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